Top 5 des pays sans gouvernement après des élections classés par rapport au résultat du parti vainqueur.
5. Italie en 2018, vainqueur : 5 étoiles avec 33% – 3 mois sans gouvernement.
4. Belgique en 2010, vainqueur : N-VA avec 29% – 541 jours sans gouvernement.
3. Espagne en 2023, vainqueur : PSOE avec 38% – 3 mois sans gouvernement.
2. Grèce en 2015, vainqueur : Syriza avec 36% – 1 mois sans gouvernement.
1. Kosovo en 2025, vainqueur : Vëtevendosje avec 42% – Presque 4 mois sans gouvernement à ce jour.
C’est qui les champions encore une fois ?
🇦🇱
Top 5 shtetet pa qeveri pas zgjedhjeve, të renditura sipas rezultatit të partisë fituese.
5. Italia në vitin 2018, fituese: Lëvizja 5 Yjet me 33% – 3 muaj pa qeveri.
4. Belgjika në vitin 2010, fituese: N-VA me 29% – 541 ditë pa qeveri.
3. Spanja në vitin 2023, fituese: PSOE me 38% – 3 muaj pa qeveri.
2. Greqia në vitin 2015, fituese: Syriza me 36% – 1 muaj pa qeveri.
1. Kosova në vitin 2025, fituese: Vetëvendosje me 42% – Pothuajse 4 muaj pa qeveri deri sot.
A thua kush janë kampionët, a ?
Edi Rama qui s’agenouille devant Giorgia Meloni.
L’Albanie, ce pays vassal, toujours prêt à se plier devant l’Italie, l’Union européenne, ou n’importe quelle puissance du moment… tant que ça rapporte du pognon.
Une combinaison parfaite de néocolonialisme européen et de servilité locale.
Et c’est reparti avec cet idiot, pour quatre ans de plus.
Fin mars, cette période fatidique où les familles albanaises se déchirent pour accomplir la mission primordiale mobilisant le plus de ressources : la déclaration d’IMPÔTS.
« Prépare les documents nécessaires, et je remplirai ta déclaration. » dit l’enfant, souvent l’aîné. Évidemment, les documents ne sont jamais réunis. Et là, le drame commence : la guerre des justificatifs.
Chaque année, c’est la même scène : un enfer de feuilles volantes, des fourres vides, des pages manquantes, des tiroirs qui claquent violemment, des lunettes introuvables, des insultes qui fusent. Le père, avachi par terre dans un océan de papiers (puisque évidemment il n’a pas de bureau, à quoi ça sert ?), accuse sa femme d’avoir égaré les documents « en ayant fait le ménage ».
Pendant ce temps, l’aîné, en sueur, tente de décrypter un formulaire tout en expliquant pour la dixième fois que non, mettre la voiture de l’oncle à leur nom ne va pas réduire leurs impôts. Puis, la mère, qui ressasse : « Ah, ces Suisses et leurs papiers ! »
Après des heures de souffrances, d’insultes, de provocations réveillant de vieilles querelles familiales, de crises existentielles sur les raisons pour lesquelles nous sommes nés Albanais et des regrets amers de ne pas être Suédois, la déclaration est envoyée.
Et jusqu’à l’année prochaine, la paix règne…
Enfin, du moins jusqu’à la prochaine lettre de relance.
Merci papa maman.